Alors comme annoncé
dans notre dernier post, on a visité la ferme de la soie à Siem Reap ! Il
faudra donc encore attendre (eh oui Céloche) pour entendre parler de la NZ !!
En résumé très
rapide, dans la vie « normale », le ver forme son cocon avec sa
propre salive (c’est ce qui donnera la soie au final), se transforme en chrysalide, puis éclot sous forme de papillon, qui pond des oeufs qui donnent des vers (ou chenilles), etc etc.
Lorsqu'un cocon est destiné au tissage, il est ébouillanté avant
l’éclosion, ce qui permet de le garder intact. Le cycle est donc interrompu par l'homme, afin de préserver le cocon et donc la soie : en revanche adios la chrysalide, qui déchirerait le cocon lors de l'éclosion. Les cocons sont alors mis en bobinage puis
en teinture. C’est alors que les femmes passent des heures à tisser pour
fabriquer les vêtements traditionnels ou autres formes d’articles (écharpes,
plaids..). Ici en effet : pas de machine, juste le bon vieux métier à tisser et le savoir-faire !
Vers à soie en plein gueuleton |
Cocons |
Préparation au tissage |
Sur le chemin du retour... |
Nous avions
également assisté à des danses traditionnelles Khmers. A défaut de retranscrire
la musique, on vous laisse apprécier les photos seulement…
Un paon |
Désolés on a fait un peu vite sur ce message...
Et pourtant... Le Cambodge... On a a-do-ré !!!
La photo 1, ce n'était pas comme votre soupe de nouilles.....
RépondreSupprimeret encore un hommage au savoir faire... des femmes!
Y'avait une usine de vers à soie avant à Briançon, là où y'a le pompiers :)
RépondreSupprimerVous vous êtes acheté un foulard ? Enfin... Julie tu m'a acheté un foulard ? J'ai 30 ans cette année hein... ;)
Ça doit être génial de voir tout ça !
Et ça se mange les vers à soie ?
RépondreSupprimer